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fréquence

Commande publique / installation pérène pour le Bois du Bouscat

la commande

« fréquence » est une installation qui questionne la limite entre espace public et espace privé. 

Située à l’entrée Lyautey du Bois du Bouscat, elle marque le seuil par son identité visuelle forte, sa géométrie angulaire contraste avec le contexte paysagé.

Elle s’installe dans l’entre-deux de la grille et joue de sa position intérieure / extérieure. Composée d’une succession d’éléments indépendants en chêne huilé, l’ensemble répond à une logique de déformations séquencées. Cette proposition brouille les pistes entre œuvre d’art et mobilier urbain, une invitation à se « re-positionner » dans le lieu.

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Printemps du petit TNB

Le temps d’un weekend, le TNB s’est tout particulièrement dédié aux familles et aux enfants. Une carte blanche a été confiée à Valérie Mréjen, artiste associée au TNB, pour la programmation et aux collectifs urbagone et Les M Studio pour la scénographie des espaces.

Au programme :
– Siestes musicales, avec François Robin et Erwan Martinerie.
– Sortie de résidence de Valérie Mréjen dans 6 MFR 35 : présentation du film réalisé et performance collective avec les élèves au cinéma
– Courts-métrages de Valérie Mréjen au cinéma
– Concert de Michael Wookey et l’Orchestre de jouets
– Ateliers dans les espaces du TNB pour les enfants
– Visites ludiques du TNB

En partenariat avec Les Tombées de la Nuit, dans le cadre de Dimanche à Rennes.

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© MM Paris / © Louise Quignon

TNB

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Le Théâtre National de Bretagne entame cette saison une nouvelle page de son histoire artistique.
Cette « mutation » opérée par un artiste à la tête du TNB, Arthur Nauzyciel, entouré de 16 artistes associés, invite à repenser le lien au public et plus largement la façon dont le TNB souhaite accueillir les spectateurs.
Le projet consiste à traduire au cœur même du bâtiment cette volonté de renouvellement et d’ouverture à travers 2 axes majeurs :
1 – l’étude et l’analyse de l’existant avec rédaction d’une série d’actions possibles
2 – engager un changement « esthétique » et « fonctionnel » des espaces publics

urbagone a été choisi pour repenser et expérimenter de nouvelles formes d’accueil et d’appropriation des espaces publics dans ses murs. D’une certaine façon, il s’agit de mettre en adéquation le projet artistique développé par Arthur Nauzyciel et les espaces du TNB : abattre certains murs symboliques pour l’ensemble des usagers, publics et professionnels.


UNE NOUVELLE IDENTITÉ VISUELLE


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 M/M Paris


DES DESIGNERS EN RÉSIDENCE


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Guillaume Denaud / Dans les dents

Un certain nombre d’outils et de rendez-vous aux formats divers ont été mis en place afin d’échanger, de pratiquer, de nourrir le projet et son analyse.
La présence de notre collectif  in situ et de nombreuses rencontres avec les équipes techniques et administratives, les artistes et les publics, a permis d’observer les rythmes d’usages, les appropriations, les attentes et habitudes, dans des temporalités diverses.
L’ensemble de ces aménagements va se réaliser progressivement, selon les contraintes de calendrier, en s’adaptant aux envies et en s’ajustant aux besoins, pour inviter les usagers  à occuper le TNB différemment, à y venir en dehors des temps de représentations pour des moments de rencontres, d’ateliers, de travail, de repos qui lui permettront de se réapproprier ce lieu, d’y être accueilli et de s’en saisir de façon plus continue.

Nous avons construit au fur et à mesure des jours passés au travail sur ces espaces, une liste des offres et des usages existants au TNB que nous avons complété avec des propositions à intégrer pour le nouveau projet. Ce répertoire, non exhaustif, constitue la base de notre proposition, qui concerne pour la prestation intellectuelle l’ensemble des espaces accueillant du public, l’école et une partie des bureaux administratifs ( niveaux 4 et 5 ).
Il s’agit d’un constat de l’existant accompagné de pistes de réflexion et de choix artistiques plus engagés afin de leur donner notre vision pour l’avenir des espaces publics du TNB.
Ce répertoire va se dessiner dans les prochaines semaines et prendre forme dans un objectif premier, celui de requalifier l’ensemble du RDC du TNB. Bien sûr, ce travail artistique et architectural devra et ne sera pertinent que s’il est accompagné d’un nouveau regard et donc d’une nouvelle gestion de ces espaces.
L’équipe du TNB doit garder cette donnée fondamentale à l’esprit car cette nouvelle configuration et ce nouveau dialogue souhaité avec le public ne se fera qu’à la condition d’un engagement total, bienveillant et organisé, de l’équipe, dans ces changements.

à suivre …

workshops et interventions publiques

urbagone est régulièrement sollicité pour participer ou organiser différents temps dans le cadre de workshops, d’interventions publiques, de séminaires…sur des thématiques aussi variées et complémentaires pour leur démarches que l’accueil des publics, la pédagogie de l’architecture, …etc

séminaires et formations : La Belle Ouvrage / 2018 – arc en rêve / pédagogie de l’architecture/ 2018,  ENSAB méthodologie de projet-4e année / 2018,   École des hautes études en santé publique – Chaire de recherche sur la jeunesse pour le conseil de développement de Dinan Agglomération / 2017…

workshops : MJM Graphic Design / 2018 , Habiter là #3 – 2-4 Payaso Loco / 2016, Au bout du plongeoir – week-end à Tizé / 2014, …

scolaires : café de l’architecture – ENSAB / 2018, JEMA Journées Européennes des Métiers d’Art – ville d’Acigné / 2018 – lycée(s) arts plastiques, …

 


colloque national – PARTAGER L’ARCHITECTURE AVEC LES ENFANTS – 2018


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Le colloque et l’exposition partager l’architecture, avec les enfants, conçus par arc en rêve centre d’architecture et organisés à l’initiative du ministère de la Culture, s’inscrit dans le cadre de la stratégie nationale pour l’architecture.

L’intérêt public de l’architecture a été inscrit dans la loi du 3 janvier 1977 qui dispose, à l’article 1er : « l’architecture est une expression de la culture ».
La sensibilisation des enfants et des jeunes à l’architecture, participe de l’éducation à la citoyenneté. Les situations de rencontres avec la création aiguisent leur sensibilité à l’architecture contemporaine et permet aussi de leur donner des clés pour être des citoyens acteurs de la qualité architecturale de leur cadre de vie.
arc en rêve centre d’architecture a organisé les 24 et 25 novembre 2018, avec le ministère de la Culture, un colloque national consacré à la pédagogie en matière d’architecture qui s’appuie sur des expériences menées par différents acteurs institutionnels ou indépendants.

urbagone a été invité à présenter leur expérience dans le cadre d’une résidence menée entre 2015 et 2017 au lycée Ozanam de Cesson-Sévigné; Ce projet a été sélectionné pour l’exposition et l’édition dédiée à ce sujet.

L’architecture est affaire de tous, et en même temps, une affaire d’initiés. Aussi la sensibilisation culturelle à l’architecture concerne-t-elle toutes celles et ceux qui la font : les architectes, les élus, les maîtres d’ouvrage, privés et publics, les constructeurs, les habitants – adultes et enfants.
Cependant l’architecture est le plus souvent absente des débats publics, alors que le monde de l’architecture débat – se bat – sans cesse pour la défendre.
Il y a sans doute là quelque chose à réfléchir sur le partage de la culture architecturale.

arc en rêve centre d’architecture de Bordeaux

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DIT DIWO – week-end à Tizé – 2014


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 urbagone invité dans le cadre du SEA – Site Expérimental d’Architectures – par l’association Au bout du plongeoir en partenariat avec la MAeB ( Maison de l’Architecture et des espaces de Bretagne ) propose d’expérimenter un atelier/chantier dans la fabrication d’objets design.

A travers cette proposition d’atelier, il s’agit de questionner la relation entre le concepteur ( designer / architecte /artiste…) le fabricant et l’usager.

Inspiré des principes d’Enzo Mari ( 1974 ) « quiconque sauf les industriels et commerçant, à le droit d’utiliser les modèles pour les fabriquer lui-même » et en réaction à la production de masse, nous cherchons des alternatives à la standardisation des objets qui nous entourent. Cette invitation au partage afin de « construire » une culture commune et d’encourager la créativité permet de redonner du sens et d’envisager la production comme une richesse investie d’une charge sensible, intellectuelle, sociale ou culturelle.

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– tabouret möbius (2014) design virginie février et sébastien ribreau. Möbius a été spécialement dessiné pour l’atelier DIT DIWO Do It Together Do It With Others dans le cadre du week-end à Tizé 2014.

– lampadaire (2009) design sarah Kueng et lovis Caputo revisité d’après la lampada a stelo d’Enzo Mari pour l’exposition Autoprogettazione (30 meubles de designers à fabriquer soi-même de Christopher Stuart aux éditions Eyrolles).

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EN ATTENDANT, QUE FAIT-ON ?


 

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Maurepas est un quartier en pleine mutation qui traverse une longue période de travaux. Le centre commercial du Gast sera à terme démoli. En attendant que ces changements prennent formes que fait-on? Que fait-on pour que la période des travaux ne soit pas un temps vide et d’attente? En collaboration avec un groupe d’habitants du quartier, un atelier s’est monté pour faire naître des envies et proposer des réponses. Sous forme d’un workshop, une équipe se réunit depuis octobre dernier autour d’apéro-goûter. Au cours de ces temps de travail s’est dégagée l’envie de questionner l’usage des surfaces des toits du quartier.

Le projet s’est dessiné lors de discussions, de jeux, mais aussi d’excursions et de soirées chamalow autour du feu. De ces temps singuliers, une utopie est née : la volonté de s’extraire de la réalité et du quotidien de ce territoire. Aujourd’hui cette utopie est retranscrite sous forme de maquette d’intention, elle correspond plus à un rêve qu’à une réalité de construire une installation. Elle est la représentation physique brut des discussions et pérégrinations issues du workshop.

Il s’agit donc d’une première étape dans le processus de ce projet. Si il devait se poursuivre, la question de sa faisabilité se poserait. Celle de sa forme également en tant qu’installation praticable. La discussion avec les habitants devra donc passer du fantasme à la réalité.

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pour le Centre d’Art Relationnel
Virginie Février – architecte plasticienne – urbagone
Louise Peuch – architecte  /  Adrien Boussicaut – architecte

phonographe

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Le Bon Accueil / urbagone / école André Chédid Villejean
Le projet s’inscrit dans la continuité du travail mené par le Bon Accueil, lieu d’arts depuis 2008 proposant expositions, performances, ateliers sonores, résidences d’artistes utilisant comme médium le son, ou dont le travail est nettement influencé par les musiques populaires, allant de la musique folk aux musiques électroniques minimales.

 

Pour ce projet, nous nous sommes retrouvés autour d’un objet réunissant des recherches dans les domaines du son, du design d’objet et du design graphique: le phonographe.
Nous avons donc accompagner les élèves dans le développement d’une identité visuelle singulière liée à cet objet: un travail basé sur :
– des patrons développant des techniques de pliages et d’assemblages spécifiques pour les cônes de papier
– des recherches graphiques, sur des formes géométriques et des motifs permettant l’abstraction pour retrouver un lien émotionnel avec la musique, afin de réaliser des tampons qui illustreront les cônes des phonographes
Chaque atelier a fait l’objet d’un dispositif immersif qui a plongé les enfants dans un univers particulier: scénographie de l’espace / accompagnement sonores et visuels / approches sensibles.

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résidence lycée Ozanam #2

Démarche du projet année#2  -2016-2017
« Fabriquer un ordinaire singulier »

La deuxième année a pris une autre forme, elle a été l’opportunité pour les élèves de découvrir une autre dimension de la résidence artistique avec un format et une présence différente au lycée. urbagone s’est installé dans les locaux dans une forme plus proche de la résidence immersive / IN-SITU à raison d’une journée 1/2 par semaine.
Cette immersion au sein de l’établissement a permis d’être installé dans une forme de quotidienneté, de connaître et de faire connaître le projet à un plus grand nombre.

Différentes séances autour de la méthodologie de recherche, de l’analyse, de l’expression individuelle ont été mises en place en restant accessible mais exigeant. Pour les élèves, le champs de l’art est l’occasion d’expérimenter une singularité d’approche et de s’exercer à une démarche de conception voire de conceptualisation en se construisant un regard critique nourrit de références et de recherches. Un concours a ensuite permis de sélectionner les projets les plus pertinents qui ont été dans un second temps approfondis et redessinés par urbagone dans l’objectif d’une réalisation.

Cette phase du projet a été accompagnée par des temps de présentation, afin de sensibiliser les élèves à la démarche globale de projet en intégrant les dimensions incontournables : concept, économie, écologie et méthodologie de production.

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Phase 1 : Méthodologie & expression

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Dans cette phase, 3 séances avec les élèves sont prévues, à raison de 4h / séance.
Le format, pour cette année, se rapproche de celui d’un atelier d’école d’art ou d’architecture. Pour chaque séance, les élèves sont tout d’abord dirigés dans un objectif de séance, un temps de discussion et d’apport de références introduit l’après-midi, puis ils travaillent en autonomie pour atteindre l’objectif donné avec un temps spécifique de discussion avec l’un des artistes présent.


Phase 2 : Pertinence & choix ( concours )

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Approfondir le volet 4 de la résidence de 2015-2016 à savoir « de la perception à l’expression » comprendre la démarche artistique et s’en nourrir pour intégrer son projet dans une vision plus transversale et trouver des moyens d’expression adaptés et pertinents pour le mettre en œuvre.
Accepter le doute de l’aventure créatrice, apparaît comme une valeur positive. Échapper à la conception rationaliste, choisir ses propres règles pour définir son projet et en trouver une expression individuelle.


Phase 3 : Sélection et réalisation

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1 – Un concours a permis de sélectionner les projets les plus pertinents.
Ils ont été dans un second temps approfondis et redessiné par urbagone dans l’objectif d’une réalisation: conceptualisation > esquisse > APS/APD > dessin d’exécution.
Cette phase du projet a été accompagnée par des temps de présentation, afin de sensibiliser les élèves à la démarche globale de projet en intégrant les dimensions incontournables: concept, économie, écologie et méthodologie de production.
2- les 21, 22 et 23 Novembre 2016 : 3 jours workshop dans l’objectif d’une production pour une intervention globale sur l’espace du grand hall (Galilée) du lycée technique et professionnel contribuant à une forme de revalorisation de cet espace ont été menées : requalification et donc réappropriation par les élèves à un moment clé de la transformation du lycée. Ces journées n’ont pas suffi et plutôt que de revoir les ambitions, les autres classes ont été sollicités afin d’intégrer de projet dans la phase d’exécution.


Cette oeuvre, entre installation et intervention architecturale, témoigne d’une valorisation des savoir-faire manuels liés au bois, réinterprétés dans une écriture contemporaine et volontairement décalée des codes et registres formels que l’on trouve ordinairement dans ces espaces dédiés aux scolaires. Elle offre également des «usages», entre art et architecture, mettant en jeu sa relation à l’environnement, l’oeuvre se mesure au lieu où elle «s’expose», l’environnement devient une composante à part entière, elle est alors conçue en fonction d’un lieu particulier avec lequel elle entre en relation.

Que fabrique-t-on alors ?

Ici, le hall du lycée devient support à requestionnement et dans cette installation ou les individus circulent, circulent aussi de la poésie, de la pensée et de l’esprit critique.

résidence lycée Ozanam #1

Résidence année #1
2016-2017

Dans le cadre de deux années de résidence artistique et culturelle au lycée Ozanam, urbagone a sensibilisé les élèves de la section TMA ( Technicien Menuisier Agenceur ) à la démarche de création. De cette présence, sont nés le désir et une commande : proposer une installation pérenne pour l’espace du hall Galilée, lieu pivot des sections professionnelles dans un lycée en pleine fusion, s’apprêtant à accueillir dans ces nouveaux locaux les filières tertiaires du lycée Sainte Thérèse.
Lors de la première année de résidence, l’objectif était simple, faire découvrir et expérimenter ensemble les champs de pratique d’urbagone : art / architecture / design : par la découverte de leurs outils de travail, la visite d’expositions ou de lieux ressources, l’expérimentation de protocoles visant à vivre des expériences individuelles et collectives questionnant leur rapport à l’espace et un exercice de mise en situation contextualisé.
Les objectifs de la première année ont été atteints aussi bien dans les formes d’expérimentations sensibles que dans l’enrichissement culturel. L’équipe a su s’ajuster au groupe et à sa capacité de progression, au fur et à mesure des séances pour laisser place à une expression finale exigeante, tant dans l’approche que dans le résultat formel.

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Objectifs pédagogiques, artistiques et culturels du projet :
→ participer à la formation de l’élève, l’accompagner dans l’exercice de son sens critique;
→ enrichir les ouvertures culturelles, favoriser plus de transversalité dans les disciplines,
→ se repérer dans l’espace et dans le temps,
→ enrichir et développer l’imaginaire créatif,
→ découvrir la pratique d’artistes et leurs univers,
→ participer à un processus de création, individuel et collectif, et mettre à profit ce travail dans un but commun : recherches documentaires, analyse de références nécessaires à l’élaboration d’un projet artistique, visites d’expo ou de sites…
→ développer une argumentation, acquérir du vocabulaire, trouver des outils et modes de représentation / d’expression adaptés,
→ mener une expérience artistique et culturelle de A à Z : associer la technique professionnelle à la création artistique pour produire une oeuvre > de sa conceptualisation à sa réalisation,
→ communiquer sur le projet,
→ participer activement à la re-qualification et la re-valorisation de l’espace du lycée,
responsabilisation de l’élève en tant qu’acteur dans la vie de son école, son quartier, sa ville >> initier une conscience citoyenne.

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Groupe d’élèves ou classe(s) concernés :
1ere TMA bac pro technicien menuisier agenceur (2015-2016) et indirectement tous les élèves de l’établissement.
Nombre d’élèves concernés : 29 élèves acteurs du projet

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ex situ

EX SITU – installation plastique

moulages plâtre bois de recyclage (chêne, hêtre, pin, douglas, mélèze, chataignier…), par urbagone (virginie Février / sébastien Ribreau).

De ces échanges, de ces travaux avec les élèves de Pont-péan, urbagone en propose une réécriture collective, ou chacun trouve sa place dans une histoire commune, une installation sensible et synthétique du travail partagé.

La voici restituée et présentée aux publics des Champs Libres, témoignage de ces rencontres, une aventure de création unique, de petites histoires à découvrir…

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Si on construisait une maison en escalier, un immeuble toboggan – les dinosaures existeront de nouveau et ils seront très gentils – Il y a une plante bizarre, qui s’appelle vivace – Il faut bien 2 soleils pour mieux éclairer la route volante – Nous vivrons dans des maisons et des appartement à l’envers et des appartements à 100 étages – Les poissons voleront dans l’air avec des ailes – Les oiseaux, eux, ne pourront pas voler parce qu’ils n’auront pas d’ailes – Par exemple, la couleur rose s’appellera la couleur violet – Les immeubles seront accrochés par un pont invisible et pour y monter on utilisera la gravité – La vie est normale mais il y a quelques défaut: les oiseaux, les crabes et les éléphants se sont croisées et assemblés !!! – Un soleil électronique – Un arbre qui fait toute sorte de fruits, si tu demandes de poires, il te pousse des poires en une minutes – Les immeubles seront accrochés par un pont invisible et pour y monter on utilisera la gravité – La vie est normale mais il y a quelques défaut: les oiseaux, les crabes et les éléphants se sont croisées et assemblés !!! – Un soleil électronique – un arbre qui fait toute sorte de fruits, si tu demandes de poires, il te pousse des poires en une minutes – Ils mangeront des coquilles d’escargots et des limaces. Un tigre fait 20 000000000000 kilos sauf qu’il court à 1000km/heure – Dans le futur, il y aura des rivières de chocolat, des tempêtes de chocolat et des tourbillons de chocolat – J’imagine un gonfleur de végétation qui sert à gonfler la végétation – Un soleil en forme de coquillage – Dans l’océan, il y a des fleurs verts qui poussent vites et des oiseux qui vivent dans l’eau – Dans 1000 ans, il y aura des fusées qui font voiture, avion, bateau, sous marin et maison – Il y aura des vibornes, les vibornes sont des animaux marins et ils peuvent être sur la terre ferme, ils sont herbivores et gentils – les métros planeront dans l’air – les planches à voiles motorisées glisseront sur le bitume- Des bus avec des ailes – Comme nouvel animal, j’imagine un huslérat, un mélange de husky, d’éléphant et de rat – Une voiture qui se recharge avec de l’eau – Bien sûr que quand je dis ça, c’est tout le contraire. Il alla se balader dans des paysages extraordinaires ! puis il rentra chez lui se faire des bonnes carottes – Il y aura aussi des croquettes pour homme- Et des robots qui cultivent dans le champs de force et des plantes qui poussent en un jour. En haut des montagnes, 4 petites maisons et des nuages de cristals – Les habitations vu de dehors seront toutes petites mais que tu es dedans, c’est une villa. Ce qu’on manger sera sur mars, on enverra des robots pour les chercher – Les racines deviennent géantes jusqu’à soulever une maison – Les habitations ne sont plus faites en briques mais en feuilles imperméables, les robinets en forme de tir bouchon seraient en racines et quand tu en coupe un bout, l’eau coule – Un train qui ira plus vite grâce au champs magnétique, un parking de secoupe volante, un immeuble Volant – Des ponts reliant les montagnes entre elles – Dans 1000 ans, il y aura des maisons à roulettes – Dans 10 ans, il y aura une ville au creu d’une vallée ou il y aura une bulle qui se forme peu à peu car l’eau coule des montagnes – Dans 1000 ans, nous voyagerons avec des voitures volantes, nous habiterons – Les maisons seront à l’envers et les jardins seront juste au dessus – Dans des maisons dans le ciel. grâce à des moteurs qui les feront voler. Ils auront des montgolfières sous marin – La nuit, les animaux s’éclaireront pour faire comme des lampadaires – Des sortes de cloches au dessus des maisons et des villes et des villages – Il y aura des animaux dont l’ADN s’est croisé par 2, par 3, par 4 – Des animaux bizarres ou normal et non normal – Si on sort d’un des creux qui font une habitation, nous devons nous réfugier dans la grotte d’urgence – Il vont attérir dans une nouvelle planète et il va avoir des passages secrets ou ils vont plus pouvoir voler – La végétation est assez rare, mais géante – Des animaux bizarres, mi-serpents mi-ours, 198 fois plus intelligent que l’homme parle le français avec un accent très fort – On vend des capsules à la menthe, des médicaments mais pas de fruits – La magie rend les personnes immortelles ce qui pose plein de problèmes – Il y aura des robots laveurs, ils nettoient les rues – Il y aura des lapins avec une grande queue de poisson et une bouche de chat – Quand la neige tombe, les arbres et les fleurs poussent – Imagine des moyens de transport qui volent sans pilotes – Grâce à beaucoup d’expériences, les hommes ont inventé une machine qui utilise les roches volcaniques ramassées pour produire du feu – La nourriture sera des plantes en sucre – Pour se nourrir ils doivent aller dans une petite épicerie cachée dans la végétation – Les voitures roulent sur la mer – Les habitations seront à 80 cm du sol – un dinausore poilu – On mangera des plantes et des nuages- Il y avait une famille qui vivait dans une grande forteresse qui changeait de couleur tous les jours grâce à une machine électrique…

manu factura utopia…les enfants de CM1 de l’école Lucie Aubrac – de Pont-Péan

 

atelier pro

résidence DAA

logo des 3 noir

CO design-er

Qu’est-ce que c’est, une résidence croisée entre art, design et architecture ? Que questionne-t-on ? Comment co-développer le projet ? Intégrer les publics dans la démarche, adapter et permettre l’évolution de la commande initiale, réfléchir à une économie de projet globale ? Que produit-on ? …

Un objet, une micro-architecture, une méthodologie, une œuvre  … Et bien d’autres sujets, abordés ensemble, à travers nos expériences, nos sensibilités, nos questionnements…

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Pourquoi ?

une résidence DAA
Design – Architecture – Art
pour concevoir et réaliser une installation ( mobiliers/objets) pour l’espace vie du citoyen

Mais pas que…

Dans une démarche de “co-construction” de projet, l’équipe de la résidence DAA invite les publics – salariés et usagers – à participer à cette expérience.

Avec qui ?

urbagone > 1 architecte / plasticienne + 1 designer / plasticien
studio mAAb > 2 architectes / designers
pelleteurs de nuages > un atelier communautaire … et l’équipe des Champs Libres autour de la démarche 4C avec Eric Pichard, Angélique Robert, Samuel Bausson et Manuel Moreau.

Comment ?

– notre équipe en résidence, installée sur place à l’étage vie du citoyen, afin d’informer et de mettre en partage le projet tout au long du processus de recherches / actions.
– une équipe de volontaires des Champs Libres, peut-être vous (?) mobilisée sur des temps de recherches et d’expérimentations afin de co-définir le projet : collecter de la matière, évoquer des idées, partager des envies, rêver des folies…
– des ateliers ouverts proposés aux publics / usagers des Champs Libres afin de se retrouver autour de temps de rencontres / actions. Nous aborderons le projet en cours, les questions et enjeux qui le traverse : architecture et espace, corps en mouvement, design…

Mais encore…

Une invitation au partage afin de « construire » une culture commune et d’encourager la
créativité. Il s’agit autant de redonner du sens que d’envisager la production comme une richesse investie d’une charge sensible, intellectuelle, sociale et/ou culturelle dans une démarche collaborative, réflexive et sensible.

 

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Entre septembre 2016 et octobre 2017, dans le cadre d’une commande artistique pour la réalisation d’un dispositif d’accueil, d’accès aux droits et à l’information culturelle, nous avons développé un projet avec l’équipe de la bibliothèque des Champs Libres, équipement culturel et artistique rennais en collaboration avec studio mAAb et l’atelier pelleteurs de nuages.

Pendant 4 mois de résidence INSITU où nous avons rencontré les équipes des Champs Libres au quotidien et lors d’ateliers dédiés au pro, aux directions des Champs libres, aux publics sur divers propositions : ateliers spécifiques de fabrication, performance…etc Nous sommes installés dans l’espace vie du citoyen des Champs Libres, avec cette démarche spécifique, celle d’œuvrer ensemble pour le projet dans un partage d’expériences et d’expertises constant.

Nous avons multiplié les formes et les invitations, pour garder de la poésie dans nos échanges, tout en énonçant collectivement nos besoins et nos envies…presentation APSpresentation direction CL

le projet a été débattu, négocié, enrichi, partagé, approprié… de la commande initiale : une création originale pour une borne d’accueil, un dispositif d’information culturelle et une cabine « infos sociales » pour l’espace vie du citoyen de la bibliothèque des Champs Libres le projet est né : une proposition collective, originale et singulière, cohérente avec nos besoins et nos objectifs…

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De cette résidence s’en est résulté le projet DAA des Champs Libres.

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Champs Libres / médiathèque de Pont-Péan / école Lucie Aubrac Pont-Péan

Dix ans dans le futur, ça donnerait quoi ?

Deux sultans friands ? Faux lundis ardents ? Nids fléaux truands ?

Et si tout partait à l’envers ? Ça donnerait quoi ?

Planète trouvait artistes ? Laisser partout tentative ? Votre statut plaisanterie ?

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projet dans le cadre des 10 ans des Champs Libres – Rennes – 2016

C’est en passant par des extrêmes, en franchissant les limites du possible, en rêvant aux situations les plus folles dans les scénarios les plus engageant et généreux comme dans les visions les plus pessimistes qu’urbagone propose de questionner notre rapport au quotidien, au monde, et aux perspectives d’avenir que nous lui envisageons: utopies réalisables ou concrètes folies, c’est dans ce futur renversé (à l’envers) que nous intervenons et mettons en regards croisés ces situations.

De là naitront des prises de positions, des affirmations, des doutes, des envies qui viendront nourrir un imaginaire et une capacité à rêver notre futur. À partir d’un laboratoire à imaginaire, un groupe d’enfants va être invités à un voyage vers le futur.

Par un travail d’anticipation sur des scénarios, la mise en place d’un protocole de découverte, d’échange et de mise en forme, le groupe va être guidé par les artistes dans la réalisation d’une image en relief (sorte de maquette en 2D composée de succession de plans) qui sera dans un second temps réinterprété par les artistes.

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aparté

L’aventure « L’art de se re-poser » imaginée par Dominique Chrétien consiste à inventer diverses formes pour appréhender différemment nos rapports aux temps, aux espaces, aux rythmes, aux modes d’organisations en imaginant des actes, des postures, des processus qui valorisent la place de la pause, de la non-agitation, du silence, de la réflexion…

De ce point de vue, le repos se marie très bien avec des pratiques « douces » comme la marche à pied ou le vélo, et le projet Vélo.Expo.Repos a ainsi la volonté de mettre le vélo au centre de réalisations artistiques et d’articuler ce « mode doux » avec une attention grandissante pour les formes et les rythmes de vie reposants.

aparté, proposition de Virginie Février et Sébastien Ribreau, consiste donc à imaginer, au coeur de 4 pistes cyclables qui traversent le territoire de l’agglomération rennaise, des espaces propices à la « pause ».

aparté se présente ainsi comme une parenthèse au cours de la promenade du cycliste – qu’il s’agisse d’un trajet pour le loisir, le travail ou toute autre nécessité – et lui permettre de faire un « pas de côté » et de prendre le temps de s’arrêter quelques minutes dans un lieu avant de reprendre la piste…

La démarche que nous poursuivons s’inscrit toujours dans un existant, qu’il soit historique, social, géographique… nous composons avec celui-ci. Pour cette installation, c’est un dialogue à l’échelle du paysage qui plonge le passant à prendre pleine conscience de ce qui l’entoure, l’invitant ainsi à l’observation, à l’appréciation, à la contemplation. L’oeuvre habite le paysage et témoigne de son potentiel. Nos installations artistiques tentent de créer une distorsion temporaire de la réalité, en proposant une expérience de l’art contemporain par l’art de se reposer.

Le « pas de côté » initié par l’étonnement de découvrir dans un environnement quotidien une oeuvre ne semblant pas appartenir habituellement à ce type de contexte, invite à s’arrêter et à s’interroger sur cette présence. Chaque installation est unique, l’oeuvre n’a ici de sens qu’au moment et à l’endroit où elle est installée et tente d’opérer. Elle est l’ensemble composé de la proposition artistique et de son contexte.

 

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Esquisse pour la commune d’Acigné

Le projet contribue à rendre le territoire plus singulier et vivant, à en révéler des dimensions méconnues, à en proposer d’autres images et d’autres usages. À l’heure où s’invente et se ré-invente la métropole rennaise, quels chemins de traverse proposent-on pour enrichir les lieux et les liens qui composent ce territoire ? Quelle rurbanité créont-nous précisément ? Comment s’approprier ces espaces «publics» tout en préservant le paysage et ces lieux de calme, de non-agitation et de ressourcement ?

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en attendant…que fait-on ?

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Maurepas est un quartier en pleine mutation qui traverse une longue période de travaux. Le centre commercial du Gast sera à terme démoli. En attendant que ces changements prennent formes que fait-on? Que fait-on pour que la période des travaux ne soit pas un temps vide et d’attente? En collaboration avec un groupe d’habitants du quartier, un atelier s’est monté pour faire naître des envies et proposer des réponses. Sous forme d’un workshop, une équipe se réunit depuis octobre dernier autour d’apéro-goûter. Au cours de ces temps de travail s’est dégagée l’envie de questionner l’usage des surfaces des toits du quartier.

Le projet s’est dessiné lors de discussions, de jeux, mais aussi d’excursions et de soirées chamalow autour du feu. De ces temps singuliers, une utopie est née : la volonté de s’extraire de la réalité et du quotidien de ce territoire. Aujourd’hui cette utopie est retranscrite sous forme de maquette d’intention, elle correspond plus à un rêve qu’à une réalité de construire une installation. Elle est la représentation physique brut des discussions et pérégrinations issues du workshop.

Il s’agit donc d’une première étape dans le processus de ce projet. Si il devait se poursuivre, la question de sa faisabilité se poserait. Celle de sa forme également en tant qu’installation praticable. La discussion avec les habitants devra donc passer du fantasme à la réalité.

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pour le Centre d’Art Relationnel

Virginie Février – architecte plasticienne – urbagone

Louise Peuch – architecte  /  Adrien Boussicaut – architecte

 

le banquet

L’homme, dans son évolution ne s’est pas contenté de nourrir son ventre, il a éprouvé le besoin de nourrir son esprit. Parler d’art et de nourriture, c’est montrer l’étroite relation qu’il y a entre notre vie de tous les jours et la création artistique. Comment la nourriture peut-elle refléter notre culture et notre histoire et ainsi questionner nos attitudes ? Cette proposition analyse un acte du quotidien par un regard singulier parfois critique sur nos codes, nos références et notre société.

Sur une invitation de la compagnie Mirelaridaine nous avons proposé cette installation dans laquelle le spectateur est immergé, un moment de rencontre et d’expériences « sensorielles ». le banquet est aussi un travail en cours, un work in progress dans lequel chaque sortie de l’installation ammène la proposition a prendre une forme différente, attachée à questionner aussi le contexte dans lequel elle fait oeuvre.

– banquet 1.0 – St Jacques de La Lande – mars 2015
– banquet 2.0 – St Jacques de La Lande – mai 2015
– banquet 3.0 – Rennes – juillet 2015

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palabre

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palabre– installation temporaire dans l’espace public – Rennes – Maurepas 2015

Cette intervention artistique, sur une invitation du Centre d’art relationnel au coeur du quartier de Maurepas à Rennes est le point de départ, l’esquisse des possibles permettant d’investir cette place. palabre est une action simple car il s’agit de parler à tous : 2 bancs, 1 arbre et l’archétype de la « place » est réactivé. En proposant deux assises qui se font faces, nous recréons une place à l’échelle de la rencontre, afin d’inviter les habitants et les usagers du quartier à se réapproprier ces lieux.

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recherches graphiques

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identité visuelle urbagone

 

 

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recherche graphique pour présentation du projet de réhabilitation de bureaux pour Cossette Communication – Montréal / QC

 

 

 

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recherches graphiques géométrie/couleur pour la réalisation d’un format 110X70cm peinture sur contreplaqué

 

 

 

image save the date

recherche visuel champêtre

 

Bestioles factory*

panoramique spectacle bestioles factory copie

 

Cette proposition est le fruit d’une rencontre entre urbagone et la compagnie à l’envers. Ce spectacle a été construit autour de la fabrication d’objets, de jouets, de bestioles à animer. C’est un long voyage ! Il commence chez les commerçants de la place du Gast, où un jeton peut se transformer en une invitation pour Bestioles factory. Un rendez-vous… un jour J… à heure précise… Pour un étrange parcours, un montage désarticulé, une fabrique à jouet fantasmée !

 

co-conception et réalisation urbagone – à l’envers

croquis bestioles 02croquis bestioles

concours Lieu Unique

Concours lancé par le Lieu Unique – Nantes pour la conception du meuble DJVJ

urbagone virginie février / sébastien ribreau et emmanuelle Jolivet scénographe

janvier 2014 – lauréats – projet sans suite concours meuble DJVJ LU RENDU FINAL impression RENDU FINAL impressionRENDU FINAL impression meuble DJVJ 3D2 RENDU FINAL impression RENDU FINAL impression

conditionnement

Cette recherche sur les pleins et les vides est présentée dans une installation confrontant des éléments volumétriques.

Par la variété de formes qu’il offrait et sa grande disponibilité, le polystyrène est devenu la base de l’expérimentation de cette installation. Ce matériau issu de la grande distribution, emballage standardisé de la consommation de masse devient par découpage et assemblage un moule unique donnant naissance à une forme singulière.  Un contraste se créé entre la masse du matériau (ici le plâtre) et l’aspect fragile et délicat dégagé par sa texture.

La mise en scène des volumes fait disparaître la notion d’objet, elle introduit un dialogue entre les formes faisant d’avantage référence à l’architecture.

volume Fvolume Evolume Dvolume Cvolume Bvolume A

 

 

éphémère

conception et réalisation d’une installation pour l’évènement de lancement des affiches du 25e anniversaire de l’Oeil de Poisson, centre en art actuel, coopérative Méduse / Québec.

installation papier, métal, lumière.

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