Cette recherche sur les pleins et les vides est présentée dans une installation confrontant des éléments volumétriques.
Par la variété de formes qu’il offrait et sa grande disponibilité, le polystyrène est devenu la base de l’expérimentation de cette installation. Ce matériau issu de la grande distribution, emballage standardisé de la consommation de masse devient par découpage et assemblage un moule unique donnant naissance à une forme singulière. Un contraste se créé entre la masse du matériau (ici le plâtre) et l’aspect fragile et délicat dégagé par sa texture.
La mise en scène des volumes fait disparaître la notion d’objet, elle introduit un dialogue entre les formes faisant d’avantage référence à l’architecture.